Depuis l’acquisition d’un boitier pro (Nikon Z9) rapide, à l’autofocus performant et à la gestion du bruit bien au-delà de ce que j’avais au paravent (Nikon D800), je me suis mis à la photographie animalière. Les oiseaux du quartier sont mes premières cibles. Les parcs, roselières et marais de la zone Bruxelloise offrent aussi de belles possibilités. Si l’on est prêt à aller plus loin, à se lever tôt, de nouvelles possibilités se dévoilent dans les différentes provinces belges et les pays voisins comme le nord de la France ou la Zélande (Pays-Bas). Le matériel (boitiers et objectifs) est assez similaire à celui nécessaire pour la photographie de sport comme le football.
Par contre, l’œil, la recherche, l’affut, la connaissance des espèces, de leurs habitudes (journalières, saisonnières, …) demande plus d’étude et de pratique que les sports dont les règles sont connues et l’environnement contrôlé.
Bruxelles est une ville relativement verte. Malheureusement la pression des promoteurs immobiliers met en péril la biodiversité, les ilots de verdures, les zones humides et espaces aquatiques.
- Malgré les canicules à répétition qui se produisent chaque année et même plusieurs fois par an,
- Malgré les épisodes de sécheresse qui commencent en mars-avril … en Belgique … au ciel si bas qu’un canal s’est pendu …
- Malgré les recommandations du Giec
- Malgré les obligations européennes
Les politiques sont encore axées sur des méthodologies du passé qui nous ont amené sur cette trajectoire biocide (qui tue le vivant, nous y compris évidement)
Donc … parmi les lieux à sauver, à préserver et à valoriser pour les services écosystémiques que rien d’autre ne peut donner aussi facilement, il y a le « Marais Wiels »
